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PROFESSIONNELS ET LEGALITE SCIENTIFIQUE

RUBRIQUE - FERRE BEYENS, ANALYSTE/JOURNALISTE AUTOMOBILE

Ferre BeyensLes secteurs automobiles sont confrontés chaque jour à des sujets environnementaux et énergétiques salutaires en théorie qui, si pas impossibles, sont bel et bien complexes et le plus souvent inestimables. Les professionnels techniquement qualifiés, censés faire tourner le secteur automobile, ont appris durant leur formation que la technologie se base toujours sur la légalité scientifique. Qu’il s’agisse de thermodynamique, d’électricité avec ou sans dynamo, de thermique, de pneumatique, d’hydraulique, de mécanique, de dynamique, de servotechniques, de photochimie, d’électromagnétisme, de résistance des matériaux, de physique générale, de chimie, de mathématiques, de télématique, de langage informatique binaire et ainsi de suite: tout est question de lois de base, de principes immuables et d’affirmations prouvées. La loi d’Ohm, d’Archimède, de Kirchoff, de Boyle-Mariotte ou la première, deuxième et troisième loi fondamentale de la thermodynamique? A chaque fois, il s’agit de la cohérence d’une science exacte basée sur des faits scientifiques partout et toujours présents. Si le professionnel n’en tient pas compte dans la pratique, cela crée la misère technique. Et non, cette légalité scientifique incontournable ne changera pas parce que des députés atteints par la folie climatique font prévaloir le principe de majorité démocratique par mains levées dans le parlement technologiquement incompétent.

“La science exacte ne se laisse jamais manipuler par la politique”

Là où s’immisce la politique, la technologie est exclue, comme dans ce cas-ci. Les médias ne relatent pas que les ingénieurs en développement et les techniciens doivent vivre avec l’irrationalité technologique. Une partie importante des journalistes mainstream ne montre aucun intérêt pour le viol technologique politique. Ils préfèrent écouter les politiciens, qui dictent uniquement des principes qui ne touchent pas au portefeuille. De plus – c’est prouvé chaque jour –, les connaissances technologiques des journalistes sont souvent trop limitées. Ils suivent Ecolo comme compas moral. N’oublions pas du reste que des journalistes ont déjà été excommuniés pour avoir exprimé des réserves quant à la façon dont des politiciens animés d’écologie maintiennent sous un joug compulsif la société en général et le professionnel automobile en particulier.

Laisser parler des gens qui dénigrent ce prêche CO2 discutable – même si ce sont des académiciens – ne se fait pas impunément. Demandez aux réalisateurs de documentaires, dont le contenu ne coïncide pas avec les mensonges des médias mainstream et de la politique depuis des années. Demandez aux journalistes qui ont osé donner la parole à des académiciens au raisonnement pourtant réaliste. Ou aux reporters bien intentionnés qui ont presque dû briser leur stylo quand ils ont écrit sur papier l’endoctrinement de la religion climatique via nos écoles et nos cours teintés d’idéologie.

Quand il s’agit de logiciels diesel ‘fraudeurs’, la plupart des journalistes MSM restent étonnamment superficiels dans ce qui devrait être la rédaction technologique. Il faut croire que le manque de connaissances techniques des dossiers n’affecte pas les scores d’audience et de vente. La crédibilité de leurs médias n’en est pas aidée. Les faits et les preuves ne manquent pas pour dénoncer la démagogie douteuse des groupes de pression inspirés par Ecolo et subsidiés à l’excès. Lorsque des sceptiques du monde académique veulent énoncer une vérité technologiquement pertinente, le compte-rendu MSM reste truffé de flagornerie pathétique.

Dans les milieux automobiles, on ne s’en tire pas toujours dans cette iniquité technologique obstinée. Les activités automobiles professionnelles ne sont pas non plus irréprochables dans ce cas. Nous, journalistes spécialisés, ne comptons plus sur l’appui de nos collègues MSM. Nous savons qu’on ne peut pas leur faire confiance pour énoncer la vérité et la complexité des activités automobiles et remettre à leur place les apôtres de la religion climatique. Hélas nous voyons peu à peu que de plus en plus de professionnels automobiles jettent leur bagage technique par-dessus bord. Rejoignant des soi-disant ‘experts’, qui se couvrent de honte lors de débats avec l’un ou l’autre ingénieur. Des experts généreusement subsidiés par des ‘associations’ qui éduquent la politique d’abord et la presse ensuite avec des études pompeuses, peu concrètes et tout sauf transparentes. Si les professionnels du secteur suivent aussi cette voie …, il y a des raisons de s’inquiéter.

Pourquoi notre secteur doit-il encore subir cette évolution déplorable? Pourquoi les professionnels techniquement expérimentés ne peuvent pas réagir maintenant que les médias continuent obstinément de refuser de se détourner de cette comédie climatique de plus en plus folle? Car qui mieux que ces ‘hommes d’action’ réalisent que les ‘solutions’ au réchauffement climatique – ou était-ce auparavant changement climatique? – imposées par la politique et ruineuses ne solutionnent rien. Pourquoi le secteur automobile ne proteste-t-il pas? Ne réalisent-ils pas que l’idiotie verte vit de mensonges? Des mensonges sur les coûts des sources d’énergie alternatives salutaires et bien d’autres mensonges et distorsions sur les rendements effectifs de – disons – les éoliennes. Ou sommes-nous les seuls à voir que de toutes les éoliennes dans ce pays, aucune ne couvrira ses frais sans de lourds subsides (financés par qui?)?

Le CO2 n’est pas un poison, une pollution environnementale mais un premier besoin vital. Toutefois l’alarmisme CO2 continue de se nourrir de fiction et non de faits. Les scribes automobiles sont gavés de cette rage CO2 dans toutes les présentations, les ateliers techniques, sur les congrès et les forums – et oui, de la bouche des professionnels de l’automobile. Sans interruption et toujours sous l’intitulé émission du tuyau d’échappement. Même si le CO2 est inoffensif pour l’homme, l’animal et les plantes. On parle d’émission toxique. De particules, d’hydrocarbures, d’oxydes d’azote, de monoxyde de carbone. Pas du CO2 comme premier besoin vital. Et notez que lorsqu’on a atteint les 40 °C en juillet, l’église climatique a accusé le CO2 d’en être la cause en toute impunité et sans la moindre contradiction scientifique. Comme si cette chaleur aurait été évitée, si l’homme s’était fait voler ses sous sous forme d’‘indulgences’, de taxes CO2 perçues de façon criminelle, il y a 50 ans. Les illuminés MSM n’ont pas mentionné durant ces journées chaudes que la chaleur en Belgique était pour plus de 50% la conséquence de l’urbanisation, de l’effet îlot de chaleur, du béton en plus et des arbres en moins. Et pas du CO2, comme l’ont montré les photos satellite. Nous n’avons appris nulle part – hormis dans le précédent CarFix – que la vapeur d’eau est un gaz à effet de serre nettement plus fort que le CO2. Et, à l’exception des médias sociaux, on n’a remarqué nulle part que des dizaines de milliers de personnes sont mortes durant l’été 1911 lors d’une vague de chaleur extrême, qui – pas plus qu’aujourd’hui – était causée par le CO2 vital ... 

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Écrit par Ferre Beyens
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